samedi 15 juin 2013

JE SUIS PAS DE LA GANG BIEN-PENSANTE EN PHILOSOPHIE AU QUÉBEC

Pas un traite mot de mon essai LE DEVOIR À L'ÉDUCATION dans le tout récent numéro de la revue PHILOSOPHER, printemps 2013! Je rappelle  pourtant le sous-titre de la revue: «La revue de l'enseignement de la philosophie au Québec». C'est à croire que mon essai, paru en novembre 2012, est hors sujet! Par contre, en guise de publicité bien affichée aux PUL, on a  droit à la tête de Normand Baillargeon, coqueluche de mes confrères, annonçant entre autres un nouvel essai de Monsieur PME Philosophie: Turbulences. Essai de philosophie de l'éducation. Et on m'assure qu'il n'y a aucune discrimination? Foutaise! Louis Cornellier n'a jamais publié dans sa chronique du Deoir un compte-rendu de mon essai Le devoir à l'éducation. Bon. J'ai compris. On m'exclut; on ne veut pas m'entendre; on évite systématiquement la dissidence. On veut m'ignorer. Façon polie de m'exclure.  Je vous jure que, d'une manière ou de l'autre, mes confrères-conformistes devront m'entendre et me répondre!

Un ami me confie: «Tu sais, quand le seul compte-rendu de ton essai est celui de Richard Martineau, l'odieux chroniqueur, honni par nos confrères, lequel vante la qualité philosophique de l'essai, ça en dit long sur l'opinion qu'ils ont sur ton livre.»

5 commentaires:

  1. Le seul compte-rendu? Vous avez la mémoire sélective.

    http://www.lapresse.ca/debats/le-cercle-la-presse/actualites/201212/05/48-1784-jean-laberge-un-enseignant-qui-conteste-le-droit-a-leducation.php

    RépondreSupprimer
  2. Ô merci de me rappeler ce navet.

    RépondreSupprimer
  3. M. Laberge, j'ai bien voulu faire une recension de votre ouvrage et je dois dire que j'étais bien content qu'un prof de philosophie s'engage publiquement sur un sujet d'atualité. De plus, je crois que la position que vous défendez est légitime et importante pour le débat public. Malheureusement, à la lecture de l'ouvrage, je dois avouer avoir été découragé. Le travail d'édition est mal foutu, vos propos s'éparpillent et finissent à ressembler à un règlement de compte (ce qui est agaçant). Certains arguments ne sont pas assez développés et d,autres sont carrément insuffisants pour justifier vos propos. J'ai finalement renoncé... Je crois qu'il existe un espace pour la défence d'arguments libertariens et conservateurs au Québec, mais une réécriture aurit été souhaitable. J,attends avec plus de curiosité votre prochain ouvrage sur A. Rand.
    JFM

    RépondreSupprimer
  4. Il y a encore quelques personnes qui croient que, pour mériter un compte rendu, il faut produire quelque chose qui a un minimum de qualité.

    Essayez de publier vos idées dans des revues dont les articles sont évalués, de façon anonyme, par des pairs : vous vous rendrez compte que le problème n'est pas votre nom ni les enjeux dont vous parlez (ni votre position politique : Nozick est l'un des philosophes les plus respectés du XXe siècle et il était un libertarien radical), mais la pauvreté de votre pensée et de vos arguments.

    RépondreSupprimer
  5. Monsieur Anonyme (puisque vous ne souhaitez parler en votre nom), seulement un mot: la soi-disante «pauvreté» de ma pensée se mesure à la fermeture de la vôtre.

    RépondreSupprimer