tag:blogger.com,1999:blog-2130908732926509144.post6747782736988106869..comments2022-03-26T22:19:51.976-04:00Comments on EN QUÊTE DE SENS: PEUT-ON PERDRE LA RAISON: UNE ANALYSE ARISTOTÉLICIENNE DE L'AFFFAIRE GUY TURCOTTE. Causerie prononcée le 15 septembre 2011 à la Librairie des Éditions PaulinesVieux Philhttp://www.blogger.com/profile/07278429768346522023noreply@blogger.comBlogger1125tag:blogger.com,1999:blog-2130908732926509144.post-86239568057732026362012-12-17T19:37:01.617-05:002012-12-17T19:37:01.617-05:00Au fond, vous dites, Jean Laberge, que Guy Turcott...Au fond, vous dites, Jean Laberge, que Guy Turcotte a agi sous l'effet de son caractère passionné (emporté), que le caractère, c'est l'homme et que par conséquent frapper à mort ses bébés dans un geste de grande colère, n'est pas un acte isolé mais la couleur de ce qu'il est (le Guy Turcotte).La cause immédiate de son geste est sans doute sa colère du moment, mais la cause première, sous-jacente, c'est le fait que cet homme « est » un violent. Et que comme le jeune qui pratique le piano devient pianiste, celui qui pratique le mensonge devient menteur, Guy Turcotte, lui, a pratiqué l'irritabilité sans bornes - ou l'impulsivité, comme on dit aujourd'hui avec détachement -, il est devenu tyran. Quand on l'a contrarié, il a frappé sans bornes. Comme un adolescent mécontent frappe dans le mur et le défonce, lui, Guy Turcotte, il a frappé comme un sourd... sur ses enfants ; jusqu'à ce qu'il ne reste plus de peau intacte pour planter encore une fois son couteau. On dit 43 fois ? Je n'étais pas au tribunal quand on a jugé le monsieur, mais je suppose que quelqu'un, dans ce tribunal, a réussi à faire la preuve que la démonstration que je fais ici, à votre suite, est complètement erronée !Monique Lortienoreply@blogger.com